Kenneth Koch
Diplômé de Harvard et de Columbia, Kenneth Koch enseigna près de quarante ans dans cette dernière université, immensément apprécié des étudiants pour son souffle pédagogique et son intarissable humour. Lauréat de nombreux prix littéraires, il fut élu à l’American Academy of Arts and Letters en 1996.
Chez joca seria
Kenneth Koch
La poésie comme on respire
Poèmes 1952-2002
traduction de l'anglais (États-Unis)
par Marc Chénetier
postface de Ron Padgett
La poésie comme on respire
Poèmes 1952-2002
traduction de l'anglais (États-Unis)
par Marc Chénetier
postface de Ron Padgett
« Ce recueil regroupe trente-cinq poèmes d’un attachant poète dont le volume des Collected Poems, paru en 2005, compte près de 750 pages.
La présente sélection a été composée par Ron Padgett, lui-même poète de renom, ancien étudiant et ami de Kenneth Koch (1925-2002) jusqu’à la mort de ce dernier, à 77 ans.
Proche de celle de ses amis d’un cercle connu sous l’appellation commode de poètes de “l’école de New York”, parmi lesquels figurent au premier plan Frank O’Hara, John Ashbery et James Schuyler, la poésie de Kenneth Koch se caractérise par une joyeuse énergie verbale, l’humour et l’ironie que lui dicte son aversion pour l’ennuyeuse solennité des “poètes officiels” ; un ton souvent comique jusqu’à se faire blagueur ne lui semble pas nuire à la justesse du regard qu’il porte sur le monde mais bien plutôt lui permettre de surmonter la tristesse, voire la dépression, que ce dernier bien souvent lui cause. L’alternance, ou la coexistence au sein de mêmes poèmes, de l’inquiétude, d’un humour discret, du plus grand sérieux et d’une savante bouffonnerie caractérise une partie de son œuvre. Une autre, particulièrement dans les poèmes longs, s’attache à cerner l’essentielle importance du regard et du langage poétiques pour espérer cerner les sentiments les plus complexes, contrastés et diffus. À la fois rayonnant et pénétrant, ardent et tendre, simple et savant, le poème de Kenneth Koch dit à lui seul la richesse d’une personnalité hors du commun. » Marc Chénetier
Diplômé de Harvard et de Columbia, Kenneth Koch enseigna près de quarante ans dans cette dernière université, immensément apprécié des étudiants pour son souffle pédagogique et son intarissable humour. Lauréat de nombreux prix littéraires, il fut élu à l’American Academy of Arts and Letters en 1996.
Proche de celle de ses amis d’un cercle connu sous l’appellation commode de poètes de “l’école de New York”, parmi lesquels figurent au premier plan Frank O’Hara, John Ashbery et James Schuyler, la poésie de Kenneth Koch se caractérise par une joyeuse énergie verbale, l’humour et l’ironie que lui dicte son aversion pour l’ennuyeuse solennité des “poètes officiels” ; un ton souvent comique jusqu’à se faire blagueur ne lui semble pas nuire à la justesse du regard qu’il porte sur le monde mais bien plutôt lui permettre de surmonter la tristesse, voire la dépression, que ce dernier bien souvent lui cause. L’alternance, ou la coexistence au sein de mêmes poèmes, de l’inquiétude, d’un humour discret, du plus grand sérieux et d’une savante bouffonnerie caractérise une partie de son œuvre. Une autre, particulièrement dans les poèmes longs, s’attache à cerner l’essentielle importance du regard et du langage poétiques pour espérer cerner les sentiments les plus complexes, contrastés et diffus. À la fois rayonnant et pénétrant, ardent et tendre, simple et savant, le poème de Kenneth Koch dit à lui seul la richesse d’une personnalité hors du commun. » Marc Chénetier
Diplômé de Harvard et de Columbia, Kenneth Koch enseigna près de quarante ans dans cette dernière université, immensément apprécié des étudiants pour son souffle pédagogique et son intarissable humour. Lauréat de nombreux prix littéraires, il fut élu à l’American Academy of Arts and Letters en 1996.